GANADORES DEL CERTAMEN LITERARIO RELATOS «BREVES: PALABRAS QUE DAN SENTIDO A NUESTRA VIDA»

MODALIDAD LENGUA FRANCESA:

CATEGORÍA I (1º,2º y 3ºESO)

RELATO PRIMER PREMIO

NAIRA LÓPEZ MORENO, 3ºESO A

SEGUNDO PREMIO

LE PETIT LION SOLITAIRE

-Il était une fois un petit lion solitaire… c’était un lion très intelligent, responsable et respectueux, mais il avait un peu de mal à se faire des amis. Il était très timide et ne savait pas comment s’exprimer, non pas parce qu’il ne savait pas comment faire, mais parce qu’il rougissait et que les mots qu’il pensait ou qu’il voulait dire ne sortaient tout simplement pas de sa bouche.

Un jour, une de ses camarades de classe vit que le petit lion était assis à une table éloignée. Le voyant si seul, elle alla voir la professeure et lui demanda ce qui arrivait à son camarade de classe, puisque normalement tous les élèves étaient assis en groupe, et lui était solitaire.

L’enseignante lui dit qu’il n’était pas normal qu’un élève soit assis seul, elle lui conseilla donc d’aller voir le petit lion pour lui parler. La jeune fille s’approcha donc du petit lion…

-Bonjour! dit-elle joyeusement.

-Bonjour…, répondit timidement le petit lion.

-Voudrais-tu nous rejoindre à notre table ?

Le petit lion hocha timidement la tête et alla s’asseoir à table avec ses camarades de classe. Ceux-ci se présentèrent pour que le petit lion connaisse leurs noms.

-Pourquoi étais-tu seul ? lui demanda l’un de ses camarades.

-Les gens ont peur de moi… Ils pensent qu’un lion pourrait les attaquer à tout moment, mais ce n’est pas vrai… Je veux me faire des amis mais les gens ont peur de moi.

Son camarade s’approcha alors de lui et lui prit la main.

-Nous n’avons pas peur de toi. En fait, je pense que tu es quelqu’un de très respectueux et sympathique, mais il y a des gens qui ne savent pas valoriser cela.

Le petit lion sourit avec gratitude et répondit:

-Merci… On ne m’a jamais dit une chose pareille. Les gens ne me voient que comme un monstre.

-Eh bien, ce n’est pas le cas, répondit son nouvel ami. A partir de maintenant, tu peux t’asseoir avec nous!

-Vraiment? lui demanda le petit lion, surpris,

-Oui, vraiment.

La cloche sonna et le cours se termina: c’était l’heure de la récréation. Normalement, le petit lion s’asseyait dans un coin et déjeunait tout seul, mais ce jour-là, grâce à la gentillesse de ses camarades, sa routine changea.

Depuis ce jour, il ne mangea plus jamais seul, et ne se sentit plus jamais isolé… Depuis ce jour, le petit lion se fit plein d’amis et plus personne n’eut peur de lui.

EOWYN LÓPEZ BOTUHA, 3ºESO A

CATEGORÍA II (4ºESO y BACHILLERATO)

PRIMER PREMIO

LK2

Récement , on a découvert au fond de l’océan un animal très étrange dont personne ne connassait l’existence .

Après de nombreuses années , les chercheurs ont achevé leur project de construction du LK2 .

Le sous-marin était équipé d’une technologie avancée , capable de reconnaÎtre des nouvelles espèces en extrayant de l’ADN .

Le 3 aoÛt 2112 , le sous – marin a été lancé à une profondeur de dix milles mètres sous la surface de la terre . A neuf milles mètres , une espèce terrifiante a été découverte . Cette espèce mesurait près de vingt mètres de haut et six mètres de large . Les images capturées ont été envoyées au laboratoire , où les chercheurs ont pu les examiner de plus près  . A neuf milles mètres , ils ont commencé à découvrir une espèce terrifiante. Cette espèce mesurait prés de vingt mètres de haut et six mètres de large.

Le LK2 a extrait un fragment de peau de cet étrange animal et l’a ramené sur le rivage pour que les scientifiques l’examinent .

Des mois plus tard , ils ont obtenu des nombreuses informations et ont découvert qu’il s’agissait d’un animal contenant un mélange de génes provenants d’environ 700 espèces différentes , dont 20 étaient des animaux prehistoriques tels que les dinosaures .

Les chercheurs ont publié cette nouvelle et ont reçu peu après le prix nobel pour cette grande découverte .

Désormais , les chercheurs continueront à fouiller les fonds marins pour découvrir d’autres espèces.

LUNA CORCORÁN, 1ºBACH A

TRADUCCIÓN

LK2

Hace poco se descubrió en el fondo del océano un animal muy extraño que nadie sabía que existía. 

Después de muchos años, los investigadores completaron el proyecto de construcción del LK2. 

El submarino estaba equipado con tecnología avanzada, capaz de reconocer nuevas especies mediante la extracción de ADN. 

El 3 de agosto de 2112, el submarino fue lanzado a una profundidad de diez mil metros bajo la superficie terrestre. A nueve mil metros, se descubrió una especie aterradora. Esta especie medía casi veinte metros de alto y seis de ancho. Las imágenes captadas se enviaron al laboratorio, donde los investigadores pudieron examinarlas más de cerca. A nueve mil metros, empezaron a descubrir una especie aterradora. Esta especie medía casi veinte metros de alto y seis de ancho. 

El LK2 extrajo un fragmento de piel de este extraño animal y lo llevó a la costa para que los científicos lo examinaran. 

Meses después, obtuvieron abundante información y descubrieron que se trataba de un animal que contenía una mezcla de genes de unas 700 especies diferentes, 20 de las cuales eran animales prehistóricos como los dinosaurios. 

Los investigadores publicaron esta noticia y poco después recibieron el Premio Nobel por este importante descubrimiento. 

A partir de ahora, los investigadores seguirán buscando otras especies en el fondo marino.

LUNA CORCORÁN, 1ºBACH A

SEGUNDO PREMIO

LE TOUR INATTENDU

L’historie commence au nord de l’Espagne, où vivait une bande de colibris . 

L’hiver s’approche , et avec lui le froid. En raison du changement de températures , ces petits oiseaux ont décidé de migrer vers le sud de l’Afrique , où les températures étaient très chaudes , ce qui constituait un habitat idéal pour eux . 

Ils ont commencé leur voyage et tout se passait bien , jusqu’à ce qu’ au bout de quelques jours , ils se heurtent à un orage que seuls les plus forts ont pu y traverser . Malhereusement , le plus faibles n’ont pas pu le traverser et ont dû de se réfugier dans une forêt . 

Une fois la tempête est passée, les oiseaux les plus faibles se sont mis en route vers le sud de l’Afrique pour rejoindre les autres. 

Mais un colibri était blessé et ne pouvait pas prendre son vol . Tout le groupe s’est mis en route , sauf l’un d’entre eux qui est rentré sur place pour s’occuper d’elle. 

Après quelques semaines , le colibri s’est rétabli et, bien qu’il puisse coler, les deux oiseaux se sont habitués au climat et se sont rapprochés . 

Ils réalisèrent alors qu’ils étaient faits l’un pour l’autre et décidèrent de former une grande famille dans la fôret.

HUGO HERNÁNDEZ, 1ºBACH A

TRADUCCIÓN

EL VIAJE INESPERADO

La historia comienza en el norte de España, donde vivía una bandada de colibrís. 

El invierno se acercaba y con ello el frío. Debido al cambio de temperaturas, estos pajaritos decidieron migrar al sur de África donde las temperaturas eran más calurosas, lo que creaba un hábitat ideal para ellos. 

Comenzaron su viaje y todo iba bien hasta que al cabo de unos días se toparon con una tormenta tan fuerte que no podían atravesarla. Desgraciadamente, los más débiles no pudieron atravesarlo y tuvieron que refugiarse en un bosque. 

Un vez que la tormenta pasó, los pájaros más débiles comenzaron su camino hacia el sur de África para encontrarse con el resto. 

Pero una colibrí estaba herida y no podía reanudar su vuelo. Todo el grupo inició la marcha salvo uno de ellos que se quedó en el lugar para cuidar de ella. 

Después de unas semanas, la colibrí se recuperó y aunque pudo retomar el vuelo, los dos colibrís se habitaron al clima y se quedaron unidos. 

Se dieron cuenta que estaban hechos el uno para el otro y decidieron formar una gran familia dentro del bosque.

HUGO HERNÁNDEZ, 1ºBACH A

MODALIDAD LENGUA CATELLANA:

CATEGORÍA I (1º,2º y 3ºESO)

PRIMER PREMIO

PERDÓN

Lara no podía parar de llorar. La culpa le reconcomía por dentro. Como la chica observadora que era, le habría fascinado aquella sensación si hubiera sido indolora. Pero no. Dolía más que cualquier herida que hubiera experimentado, más que cualquier golpe que se hubiera dado.

No aguantaría mucho más en ese estado. Por su culpa, el primer amor de Lara había muerto. Si las cosas hubieran ocurrido de otra forma, quizás ella podría haberme salvado, alertándome de aquel hombre que conducía borracho a altas horas de la noche por la carretera. Pero no. No lo hizo. Y yo había pagado por las consecuencias. La chica no podía evitar pensar que yo había fallecido por su culpa.

No me vería más, no podría decirme cuánto me amaba y cuánto sentía todo lo sucedido. En ese momento se acercó al alféizar de la ventana y me vio. Una pequeña luciérnaga dorada que se abría pasó para llegar junto a ella. Y, deseando que pudiera escucharme, le dije: “Pide un deseo”. De pronto, como si de alguna forma me entendiera, me susurró: “Perdóname. Es todo lo que te pido”.

Yo titilé dos veces y después me alejé, echando la vista atrás una última vez y separándome de ella para siempre.

“La vida es un suspiro. No merece la pena llorar cuando puedes reír, sentir culpa cuando hay un remedio tan sencillo como el perdón”.

HELIA LINA RODRÍGUEZ GARCÍA 2ºESO

ACCÉSIT PRIMER PREMIO

AMISTAD

El crudo invierno había comenzado el mes pasado. Las garras de hielo de Metlerga habían comenzado a pintar de blanco las montañas, congelar los ríos y ahuyentar a las aves, permaneciendo solo los más valerosos, como los bellos azores a los oscuros cuervos.

Siriel había decidido que, al igual que el viento se llevaba el calor, se la llevaría también a ella. Quería morir. Lo sabía desde hacía un tiempo, desde que llegó aquella aldea roñosa del norte. Había sufrido mucho, había sentido el dolor de la pérdida y el acero durante la guerra. Había escapado con su padre del sur, y había llegado aquel valle de montaña como una refugiada.

Se sentía sola. Su padre no hablaba con nadie desde que muriera su madre, y sus abrazos ya no daban calor. En el pueblo, todos la veían como una extranjera. Nadie la quería. Pensar que no tenía nadie con quien hablar, con quien compartir sus secretos… Le dejaba un vacío en el pecho, frío y blanco como la gélida nieve.

No sabía despedido de nadie, ya que nadie la recordaría. Hacía tiempo que su padre la miraba sin verla. Puede que ni siquiera la recordara.

Llegó al árbol ideal. Robusto, alto y con una rama baja. Colgó su cuerda en la rama y se subió a esa piedra. Se preparó para decir adiós al mundo, cuando…

Unas migas cayeron sobre su cabeza. Se giró y lo vio: un niño de su edad, con el cabello negro y los ojos del color de los pinos en primavera.

– ¡Hola!- dijo el niño mientras se comía su galleta. -¿Qué haces en mi árbol?

Por alguna razón, Siriel sonrió.

ÁLVARO NAVARRO PALAZUELOS, 1ºESO C

CATEGORÍA II (4ºESO-BACH)

PRIMER PREMIO

MURIÓ AYER

Me acerqué poco a poco a la puerta oscuras y cuando la abrí, nada pasó. Estuve decepcionado otra vez y me fui a la cama sabiendo que no era mi día.

Cada vez que llegaba la noche, abría la contraventana esperando encontrar sus ojos de nuevo, aunque ya era costumbre no hallar nada tras ella. No la veía desde el fallecimiento de mi madre, meses atrás. Hablé con alguien sobre esta situación y me preguntó si merecía la pena seguir insistiendo cuando siempre acababa tremendamente disgustado. No me importaba, incluso si luego lloraba. Conocer su cara había sido lo único bello en mi vida; lo demás, oscuro y triste.

Ayer noté su presencia en mi habitación y mi llanto se convirtió en esperanza… Busqué por mi cuarto, que ahora era abismal. Solía ilusionarme con ese lugar, ahora solo lo veía como cuatro paredes y un techo. “Si me voy, esto es lo único que recordarán de mí”, pensé. Mi habitación era un reflejo del vacío de mi vida.

Lamentaba y lloraba; me arrepentía y me odiaba. Ella entró por la ventana, me abrazó y me sentí, por fin, perdonado.

Volví a buscar su mirada, pero se había esfumado.

LÚ BATALLER, 4ºESO A

PREMIO ACCÉSIT

DE EXPLICATIVA A YUXTAPUESTA

Érase una vez una oración compuesta coordinada explicativa adolescente, la cual decía que no necesitaba una segunda o tercera oración para que se le entendiese y mucho menos un nexo, estaba harta, solo quería ser u es yo creo que desde el principio de curso ya la narración y el relato corto a partir de ahí una vez ellos saben muy bien cómo se redacta conocen las características de la narración pues entonces si presentarle varios modelos y que ellos redacte el suyo propio tema un poquito más si sí si amorna oración sencilla, simple. Sus padres, que también eran oraciones compuestas coordinadas explicativas, le repetían que era necesario ese nexo, ese segundo o tercer verbo… Pero ella no lo entendía.

Un día una amiga suya (una oración subordinada) le dijo que conocía alguien que podía cambiarle sin cambiar el si nada Como los estereotipos que hacengnificado de su vida. OCCE (así se llamaba la oración compuesta coordinada explicativa) estaba muy ilusionada, quería ir verle de inmediato.

Ese mismo día,OCCE fue a ver a esa curiosa oración, tenía mucho miedo, pero también muchas ganas. Llamó a la puerta de su casa y se lo explicó todo. Esta oración hizo todo lo posible, hasta que consiguió convertirla en una yuxtaposición. Solo consiguió quitarle el nexo y una de sus comas. Pero eso OCCE ya le hizo más feliz. ¡Por fin dejó de tener nexo!

A partir de ese día muchas más oraciones quisieron cambiar. Se pusieron muy contentos y comieron muchos complementos.

MARÍA GUTIÉRREZ MENÉNDEZ, 1ºBACH E

SE DESPIDE DE NOSOTROS, ELVIRA BLANCO

SUENA A DESPEDIDA

Toca decir adiós a la profesión a la que he dedicado más de media vida y lo hago agradecida. Agradecida porque a través de ella he podido disfrutar de mis grandes placeres: la historia, el arte, enseñar, leer, viajar con conocimiento, conversar….

Tengo claro que si tuviera que volver a elegir, elegiría ser profesora, a pesar de los inconvenientes que en los últimos años hemos tenido que afrontar, como la falta de reconocimiento y valoración social, la cuantificación e inmediatez de los resultados, la depreciación de los contenidos y del esfuerzo, la excesiva fiscalización de las familias sobre nuestro trabajo……. Aun así, pesa mucho más lo positivo, lo bueno, el aprendizaje continuo, el contacto con la gente joven y vital que te rejuvenece, la cercanía, las risas y los llantos que te unen al alumnado, sentir que tal vez hayas contribuido, aunque sea un poquito, al crecimiento personal e intelectual de tantos que han puesto en nuestras manos una parte de su futuro, pensar que algunos te recordarán al visitar un museo, conocer un lugar del que tú les hablaste emocionada, leer un libro o ver una película que recomendaste o debatir sobre política.

Para mí enseñar es más que un trabajo, es un compromiso con el alumnado, con sus familias, con la sociedad en general, que deja en nuestras manos esa tarea tan importante, con el futuro de nuestro mundo, porque ese futuro empieza aquí, en las aulas. Ese es el mensaje que me gustaría transmitir a las nuevas generaciones de docentes. Es esa responsabilidad tan grande que se deja en nuestras manos la que me ha obligado a esforzarme cada día a desarrollar mi trabajo lo mejor que he podido y he sabido, con muchos errores, seguro, pero sin derrumbarme a pesar de las de las dificultades (las tan numerosas como innombrables leyes de educación o las modas pedagógicas), siempre inasequible al desaliento, firme y constante, pero adaptándome a los tiempos y sin olvidar que son personas, adolescentes en pleno proceso de crecimiento y aprendizaje los destinatarios de nuestra labor.

Me despido, sí, pero en mi fuero interno sé que siempre seré enseñante y que lo seré donde sea, como sea y ¡con quien se deje! Es algo inherente a mi persona, que llevo grabado profundamente. Es parte de mi esencia.

¡HASTA SIEMPRE Y GRACIAS, IES PLAYA SAN JUAN!

Sois y seréis una parte muy importante de mí.

ELVIRA BLANCO, PROFESORA Y JEFA DE DEPARTAMENTO DE HISTORIA Y GEOGRAFÍA

ROBERTO MAESTRE, PROFESOR DE MATEMÁTICAS, SE DESPIDE DE NOSOTROS

EL ÚLTIMO QUE CIERRE LA PUERTA

Se me ha pedido que escriba un breve texto para la revista del instituto. Es lo que lleva consigo la jubilación, que te empiezan a dar trabajo. O al menos es lo que me dicen otros compañeros que ya están en dicho trance; cito literalmente, “Roberto, no hagas planes. No vas a tener tiempo pa ná”.

En cualquier caso, maldita la gracia que me hace. Y no es porque no me guste escribir. Al contrario, el roce del lápiz sobre el papel es tan sugerente y seductor como una caricia sobre la piel de la persona amada. Es porque lo que se me pasa por la cabeza es demasiado incómodo y salvaje como para ser publicado.

Y es que un texto de despedida y agradecimiento, con su enaltecimiento de los años trabajados, los compañeros conocidos y los alumnos sufridos, me resulta más empalagoso que una ración doble de dulce de leche. Incomestible. Y como el cumplir años y hacerse viejo trae consigo que pierda cada vez más la vergüenza, pues me voy a permitir eludir la supuesta responsabilidad de realizar una oda al viaje a Ítaca laboral.

¿Significa esto que no he disfrutado de mi trabajo? No. Para nada. Pero si he de hablar de mi experiencia vital de treinta y seis años de labor docente, no voy a poder evitar mencionar tanto las luces como las sombras. Y de estas últimas hay para elegir. Y claro, la tentación es fuerte. Es difícil escapar al reverso oscuro.

Así que si quisiera resumir mi vivencia como profesor en una sola frase, esta sería algo así como la siguiente. Siento tristeza y rabia al ver de primera mano la devaluación del sistema educativo. Se ha conseguido que los institutos pasen de ser un templo del saber a ser una guardería de la mediocridad.

Las supuestas buenas intenciones de la miríada de leyes educativas, que van surgiendo en cascada a través de los años, no se sustentan en mecanismos que permitan ejecutarlas. Al contrario, se ha conseguido una burbuja aislada de la realidad, en la que los protagonistas de la historia, nuestros niños y adolescentes, son considerados como agentes medios subnormales que necesitan ultraprotección de todo y de todos, en un ambiente de muy poca responsabilidad y con una recompensa al esfuerzo realizado convergente asintóticamente a cero. Actualmente un alumno consigue resultados aceptables simplemente con que respire. De otro modo, parece que se va a traumatizar. Lo del esforzarse y trabajar parece que es de otra era. En esta Disneylandia educativa vamos a jugar y ser competentes (sea lo que sea una competencia; que aún nadie ha sabido explicármelo de manera convincente).

No me parece razonable que permitamos que nuestros jóvenes no sepan redactar un texto de cinco líneas.

Bueno, aquí lo dejo. Paro de escribir porque me estoy encendiendo.

Me voy.

El último que cierre la puerta.

Roberto Maestre, profesor de Matemáticas

SOMOS NOTICIA

Con motivo de la presentación del proyecto La línea tejida, que nuestro centro ha elaborado en colaboración con el Museo de Arte Contemporáneo de Alicante (MACA), somos noticia. Su presentación se ha dado a conocer en algunos de los medios de comunicación más conocidos de la ciudad de Alicante.

Este año el museo ha celebrado la 9ª edición con nuestro alumnado de 2º de la ESO junto a la artista alicantina Aurelia Massanet. El proyecto “La línea tejida» gira en torno a la creación femenina en el ámbito del tejido, desde las pioneras de las primeras vanguardias hasta la actualidad.

Desde el jueves pasado junto a las obras de grandes artistas, como Eusebio Sempere y Juana Francés, se puede ver la magnífica obra que los alumnos han elaborado dentro de este precioso e intenso proyecto.

https://www.elperiodic.com/alicante/maca-finaliza-novena-edicion-menuts-veins-presentacion-proyectos-museo_965713

https://alacantitv.com/2024/06/13/el-maca-finaliza-menuts-veins-con-la-presentacion-de-proyectos-en-el-museo/

LA LÍNEA TEJIDA

El martes pasado culminó el proyecto que nuestro centro ha realizado junto al MACA, «La línea tejida». Un precioso proyecto que gira en torno a la creación femenina en el ámbito del tejido, desde las pioneras de las primeras vanguardias hasta la actualidad, y en el que ha participado nuestro alumnado de 2ºESO con la realización de diferentes actividades que han ampliado su visión acerca del arte y han despertado su sensibilidad artística, para muchos desconocida y sorprendente.

En el museo, los alumnos vieron expuestos sus trabajos y asistieron a la presentación de un vídeo en el que se recogían imágenes del proyecto desde sus inicios. Previamente, algunos de ellos realizaron una presentación de una obra, que habían escogido del MACA tras su primera visita, y junta a ella describieron las técnicas empleadas y lo que la obra les inspiraba a sus compañeros.

En la charla, que acompañó al vídeo, estuvieron presentes la directora del MACA, la artista Aurelia Masanet, la concejala de cultura del ayuntamiento de Alicante, Nayma Beldjilali, y nuestras profesoras Neus Varó y Laura Ochando, que han dirigido con mucho entusiasmo y dedicación este precioso e intenso proyecto. Tras su proyección algunos alumnos alumnos subieron a la tribuna y entonaron una emotiva canción con sus flautas envolviéndonos con su melodía. El arte fluía en cada recodo del museo.

Todos los años el Museo de Arte Contemporáneo de Alicante (MACA) ofrece a los centros educativos de Alicante la posibilidad de participar en el proyecto educativo «Menuts veïns» con la realización de un trabajo de investigación y creación a partir de las obras que eligen. Cada centro escolar escoge la forma de apropiarse del museo y de sus colecciones y también la forma de plasmar lo aprendido para contarlo a los demás. Todo ello con la mediación de una artista que hace palpable la figura del creador y aproxima los procesos de trabajo y las propuestas artísticas. En la presenta edición, nuestro centro educativo contó con la ayuda de la artista alicantina Aurelia Massanet.

¡Enhorabuena a los artistas y a todos los profesores implicados!

Diferentes momentos en la exposición oral de las obras por parte del alumnado.

Las obras de nuestro alumnado

CONCURSO LITERARIO DE RELATOS BREVES

El pasado domingo 9 de junio fue un día muy especial para nuestra comunidad educativa. Nuestro querido alumno Álvaro Navarro acudió a la gala de entrega del prestigioso concurso literario Los mejores relatos juveniles de la provincia de Alicante organizado por la Asociación Provincial de Libreros con la colaboración de la Diputación de Alicante. En esta nueva edición han participado 85 centros educativos y más de 10.000 alumnos con relatos cuya temática giraba en torno a temas actuales como el medio ambiente, los conflictos bélicos o la inteligencia artificial, así como otros temas más introspectivos en torno al bullying, problemas psicológicos o emotivas reflexiones.

El relato de nuestro «ganador», El general y la marca del árbol«, fue seleccionado como uno de los mejores relatos de la presente edición. No pudo llevarse el primer premio (la calidad literaria era muy elevada), pero el haber llegado hasta aquí es un gran logro. Con su esfuerzo y dedicación Álvaro nos ha demostrado que, incluso siendo tan joven, es posible alcanzar grandes éxitos. Su pasión por la lectura y la escritura (siempre lo encontraréis leyendo), así como su gran sensibilidad literaria, han hecho posible alcanzar este logro. 

Estoy segura de que este premio es el primero de muchos otros importantes que llegarán en un futuro, y que seguirás brillando y alcanzando éxitos. Tu pasión, dedicación y esfuerzo son un ejemplo a seguir. Los sueños se pueden alcanzar y tú lo has alcanzado. Tu relato ha sido publicado en un libro, junto al de los otros relatos seleccionados, que se pueden encontrar en más de cincuenta librerías distribuidas en la provincia.

¡Enhorabuena, Álvaro! ¡¡¡Estamos muy orgullosos de ti!!!

A continuación, podéis leer su relato que nos invita a reflexionar acerca de un tema, lamentablemente muy actual, como es el horror de la guerra y sus consecuencias. Seguro que disfrutaréis de su lectura.

EL GENERAL Y LA MARCA DEL ÁRBOL

El Alto General Khendrar observó el campo de batalla desolado. Sobre la hierba marchita, sus hombres amontonaban cuerpos, derribados por lanzas y flechas, para que ardieran en la pira. ¡Pobres infelices! No sabían que su muerte serviría para un bien mayor.

Mi señorrr – dijo uno de sus capitanes con acento hjiano. –La Garrra del Drrrragón ha zido exterrrminada con éxito.

-Bien, Dolzhir – dijo Khendrar, satisfecho. El plan había funcionado.

Caminó hasta llegar a las tiendas de los soldados, a los que impartió una charla acerca del orgullo de servir al Imperio de Szrendar, sobre cómo los sacrificios de sus compañeros habían valido la pena. ¡Pobres infelices, los klia! No sabían que la masacre había servido para un bien mayor.

Después, se acercó a su propia tienda y se quitó la armadura. A continuación, se sentó en su sillón. Aquella batalla había sido dura. Era la certeza del bien mayor lo que le mantenía en pie en momentos como esos y lo que hacía que pudiera despertarse cada mañana al amanecer.

Tras beberse una copa de vino y rezar sus oraciones a Fyar, la Diosa de la Guerra, salió de la tienda y comenzó a hacer lo que siempre hacía: honrar a los muertos enemigos.

Se paseó por el campo de batalla, observando los cuerpos caídos. La mayoría eran rojos, pero unos pocos vestían de azul. Bien. Todos esos sacrificios contribuirían a la expansión del Sagrado Imperio y al culto a los Dorëndar.

Entonces, vio algo que le llamó la atención. Una persona que no vestía ni de escarlata ni de cobalto, sino de blanco y negro. Se acercó e intentó desechar lo que se le pasó por la cabeza.

Se arrodilló junto al cuerpo sangrante, un cuerpo voluminoso, pero no orondo. Más bien grande, como los hombres que componían su guardia personal. Vestía una armadura que se dejaba adivinar tras su ropa bicolor, y su mano antaño empuñó una bella alabarda. No bella porque estuviese decorada con gemas y arabescos de oro, sino porque era un arma de buena calidad, liviana y temible. Le resultaba terriblemente familiar.

Le quitó el yelmo al guerrero caído (un yelmo que más que de guerra parecía de justa, con una bellísima cimera en forma de dragón), y observó sus rasgos. Joven y guapo, el hombre tenía el cabello castaño húmedo por el sudor. Sus ojos negros estaban abiertos en una eterna expresión de horror infinito, el horror de quien sabe que va a morir. Su nariz, ligeramente aguileña, estaba rota y manchada de rojo. Sus pómulos del color de la nieve ya jamás volverían a sonrojarse. En el cuello tenía una mancha de nacimiento con forma de árbol. Khendrar había sido la primera persona en ver esa marca.

El general se arrodilló junto a su hijo muerto, y rompió a llorar.

La nada inundó su corazón. Lenta y despiadadamente.

¿De qué servían las victorias gloriosas, si no tenías con quien compartirlas? ¿Quién era él para decir que el sacrificio de una persona había merecido la pena?

De repente, todas las palabras que había dicho antes le parecieron ceniza en la boca. Ya no servía de nada seguir conquistando para el Imperio.

¿Para qué, si ya no le quedaba nadie con quien celebrar esa victoria?

ÁLVARO NAVARRO PALAZUELOS 1ºESO C

Miguel Ángel Alonso, profesor de Historia y Jefe de Estudios, se despide de nosotros

Cuando era niño soñaba con ser militar. Recuerdo, como si fuera hoy, que un sábado por la noche con 14 años, vi en televisión una película que marcó mi vida, “Adiós, Míster Chips”. Un musical inglés que contaba la vida de un profesor de latín. Entonces, comprendí que eso es lo que quería ser de mayor, dedicarme a la docencia. Dos años más tarde, después de aprobar la Selectividad, tuve que elegir mi carrera: optar entre Economía, con supuestamente más salidas laborales, o Historia, mi verdadera pasión. Me decidí por la segunda. Ahora, que estoy a punto de jubilarme y, después de treinta y cinco años como docente (¡bendita e incomprendida profesión!), no me arrepiento de haberlo hecho. De estos treinta y cinco años, dieciséis los he pasado en el IES Playa San Juan (mi segunda “casa”) como profesor, vicesecretario, y, los últimos ocho años, como Jefe de Estudios. 

He seguido el consejo que me dio mi abuelo hace tiempo: “Miguel Ángel, cuando te acuestes, jodido pero contento”. Siempre me he esforzado al máximo y he intentado ayudar a los demás sin esperar nada a cambio. He conocido, durante estos años, a magníficos profesionales y aún mejores personas. He aprendido mucho, no, muchísimo de todos ellos. He pasado momentos difíciles como el confinamiento y la pandemia de la COVID-19; pero también ha habido momentos maravillosos que nunca olvidaré y que me llevo conmigo como un tesoro. He sentido el aprecio y el apoyo de compañeros, padres y alumnos. Desde aquí, para finalizar, quiero agradeceros a todos (a los que todavía estáis en el instituto y a los que ya no) vuestro cariño, apoyo y comprensión. 

¡Muchísimas gracias y hasta siempre!

Miguel Ángel Alonso, Jefe de Estudios del IES Playa de San Juan

CARTA A FERNANDA TABA

En esta dedicatoria brindo homenaje a quien fuera profesora de Fundamentos del Arte, Dibujo Técnico y Dibujo Artístico del IES Playa San Juan.  Una pieza esencial en el departamento de Artes y del que fuese mi segundo hogar.

Se despide de su labor, pero no solo como docente, sino como educadora. Fernanda fue una de las personas que me ofreció su apoyo y su ayuda en toda mi etapa estudiantil, sobre todo, en el PAE (Programa de Ayuda al Estudio).  

Se despide una figura inolvidable que ha conseguido plasmar el amor por su profesión en cada uno de nosotros y de nosotras.

Querida Fernanda, querida profesora y, sobre todo, querida amiga

Gracias una y mil veces más. Como te he dicho en alguna que otra ocasión, conseguiste llenarme de ganas de avanzar en mi propio proceso de aprendizaje, llenaste mi camino de sabiduría y de ganas de superarme en cada objetivo que me propuse. Querida causalidad, porque eres eso, una bonita casualidad que no duda en acompañarme en cada experiencia de mi vida. 

Gracias por dejarnos un legado tan especial, tan lleno de amor y dedicación. Gracias por insistir en tu desempeño, por haber elegido esta labor vocacional que requiere afecto y entrega. 

Gracias por organizar eventos que nos permitiesen exponer una creación de nuestro puño y letra, por comprender nuestro arte en diferentes formas sobre lienzos en blanco.

El IES Playa San Juan se despide con un hasta pronto de ti, agradeciéndote cada huella que has dejado y abrazándote con una mezcla entre tristeza y admiración. 

Gracias, Fernanda. Gracias por tu sencillez, por tu amor al arte y por la inspiración que depositaste y que nos ayudará en cada día de nuestras vidas.

Ana Norte Cámara, exalumna del IES Playa San Juan

SE DESPIDE DE NOSOTROS Mª FERNANDA TABA

“La imaginación es el combustible del arte, es lo que nos permite crear mundos nuevos” (Wassily Kandinsky)

Kandinsky es uno de mis artistas preferidos, fundó el grupo artístico «Der Blaue Reiter» (El Jinete Azul) junto con su colega artista Franz Marc (1911) y fue profesor en la Bauhaus. (1922). Sus estudios sobre arte y sus enseñanzas en la Escuela de la Bauhaus fueron innovadores en su época y aún están presentes en las enseñanzas artísticas.

Esta frase de Kandinsky evoca lo que tiene diferente el IES Playa San Juan con respecto otros centros de Alicante, el Bachillerato Artístico, es el único centro de la ciudad que se ha construido con aulas específicas. En estas clases la creatividad y la imaginación han sido elementos esenciales

Mi trayectoria en el IES Playa San Juan comienza en el curso 2004-2005 con mucha ilusión para impartir asignaturas artísticas, principalmente: Fundamentos del Arte, Dibujo Técnico y Dibujo Artístico en Bachillerato y EPVA en la ESO. Maravilloso ha sido también trasmitírselo a los alumnos, ellos que soñaron con ser artistas y que ahora, después de los años, me los encuentro y me saludan con cariño. Me alegra mucho que se acuerden de mí en sus viajes, algunos han ido al Louvre y me han mandado fotos junto a La Gioconda y junto a los retratos del Fayum…porque han aprendido a emocionarse con el arte. Al visitar un museo y verlos en la realidad recuerdan cuando los comentábamos en clase. 

Ahora echando la vista atrás veo que ha merecido la pena estar trabajando en la enseñanza, algo a lo que nunca hubiera pensado dedicarme. Mis estudios de Bellas Artes en Valencia no los hice pensando en ser profesora, la verdad, pero las circunstancias de la vida me llevaron a la Educación pública, de lo cual me siento orgullosa.

Recuerdo con mucho cariño los años que estuve en el programa PAE (Programa de ayuda al estudio) del PROA, y me di cuenta que en esta profesión como en muchas otras, es muy importante la vocación, así como implicarse en las nuevas metodologías, pero para mí lo más importante es tener empatía con los alumnos, imprescindible para transmitir, comunicar y compartir conocimientos.  En aquellos años, del 2009 al 2013, llegaron muchos alumnos de otros países que nunca habían oído hablar del río Ebro, ni de Castilla La Mancha, ni de Sierra Morena, nunca habían tocado una flauta dulce, ni tenía muchos rotuladores… Por eso teníamos que ayudarlos porque ellos no podían aprender en un curso lo que los de aquí habían aprendido durante seis cursos de primaria. Aquellos alumnos fueron muy importantes para mí y, sin duda, me ayudaron a descubrir mi otra vocación en la enseñanza, ya no era solo la profesora de arte, era la profesora que se enfrentaba a un reto que llenó de sentido mi trabajo como educadora. Como anécdota, contaros, que una tarde una alumna del PAE se trajo a su vecina de la urbanización al instituto para que le explicara matemáticas… En fin, este programa fue toda una experiencia.

Sé que le he dedicado mucho tiempo y trabajo a mi profesión, pero también tengo que decir que lo he disfrutado. Ahora que ha llegado mi jubilación, me voy contenta, hay que dejar paso a los más jóvenes. Además, me considero afortunada por haber trabajado en este oficio, por haber estado en el IES Playa San Juan, por haber compartido tantos momentos con todos los compañeros y personal no docente con los que he coincidido estos años. Y también me llevo buenos recuerdos de todos los demás centros donde he estado, que no son pocos. 

Gracias por darme la oportunidad de despedirme en la revista OLA 18.

M.ª Fernanda Taba Rodríguez

Nos despedimos de Carmen Holgado, profesora de Física y Química

Me cuesta empezar la despedida, pero todo tiene un principio y un final y llega el momento de colgar la bata y dedicarme a otras cosas. No lo he dicho, soy Carmen Holgado, profe de Física y Química en este gran instituto desde el curso 2008/2009.

Llegué al IES Playa SAN JUAN por casualidad o por los hados del destino. Yo trabajaba en un IES de Elche y estaba muy bien, pero en 2004… ¡TRIBUNAL DE OPOSICIONES!  Creo que es la mayor tortura para cualquier profesor. A partir de ese momento no hubo más remedio. ¿Dónde? En el Playa San Juan, no sabía dónde estaba, viviendo muy cerca. Llegué en pocos minutos, conocía a bastantes profesores y solicité el traslado. Pasaron unos añitos hasta que lo conseguí.

Mi más sentido agradecimiento a todo el profesorado durante tantos años por ayudarme siempre, y en especial a ANNA BAEZA, una compañera muy especial que me ha ayudado y apoyado cuando lo he necesitado, sobre todo, en mis peores momentos. Has sido mi paño de lágrimas.

Me voy orgullosa de mi labor como docente. Recuerdo con cariño todos los cursos desde 1990, ¡año en el que empecé esta maravillosa labor! Seguro que muchos profesores no habíais nacido.

En un principio no entraba en mis planes dedicarme a la enseñanza, pero se torció el camino de la Universidad y la investigación y me pregunté…. ¿Qué puedo hacer? Durante muchos años impartí clases particulares a personas que llevaban un atraso considerable en matemáticas, física y química. Mi labor dio sus frutos y conseguí que aprobaran y, de ese modo, comprendí cuál era mi labor.

Seguro que habré sido injusta con algún alumno o alumna. Pido perdón si así ha sido, tantas leyes educativas en 35 años nos confunden.

Solo deseo que seáis felices. Eso es lo más importante.

Un fuerte abrazo y todo mi cariño.

Carmen Holgado

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