MODALIDAD LENGUA FRANCESA:
CATEGORÍA I (1º,2º y 3ºESO)
RELATO PRIMER PREMIO
NAIRA LÓPEZ MORENO, 3ºESO A
SEGUNDO PREMIO
LE PETIT LION SOLITAIRE
-Il était une fois un petit lion solitaire… c’était un lion très intelligent, responsable et respectueux, mais il avait un peu de mal à se faire des amis. Il était très timide et ne savait pas comment s’exprimer, non pas parce qu’il ne savait pas comment faire, mais parce qu’il rougissait et que les mots qu’il pensait ou qu’il voulait dire ne sortaient tout simplement pas de sa bouche.
Un jour, une de ses camarades de classe vit que le petit lion était assis à une table éloignée. Le voyant si seul, elle alla voir la professeure et lui demanda ce qui arrivait à son camarade de classe, puisque normalement tous les élèves étaient assis en groupe, et lui était solitaire.
L’enseignante lui dit qu’il n’était pas normal qu’un élève soit assis seul, elle lui conseilla donc d’aller voir le petit lion pour lui parler. La jeune fille s’approcha donc du petit lion…
-Bonjour! dit-elle joyeusement.
-Bonjour…, répondit timidement le petit lion.
-Voudrais-tu nous rejoindre à notre table ?
Le petit lion hocha timidement la tête et alla s’asseoir à table avec ses camarades de classe. Ceux-ci se présentèrent pour que le petit lion connaisse leurs noms.
-Pourquoi étais-tu seul ? lui demanda l’un de ses camarades.
-Les gens ont peur de moi… Ils pensent qu’un lion pourrait les attaquer à tout moment, mais ce n’est pas vrai… Je veux me faire des amis mais les gens ont peur de moi.
Son camarade s’approcha alors de lui et lui prit la main.
-Nous n’avons pas peur de toi. En fait, je pense que tu es quelqu’un de très respectueux et sympathique, mais il y a des gens qui ne savent pas valoriser cela.
Le petit lion sourit avec gratitude et répondit:
-Merci… On ne m’a jamais dit une chose pareille. Les gens ne me voient que comme un monstre.
-Eh bien, ce n’est pas le cas, répondit son nouvel ami. A partir de maintenant, tu peux t’asseoir avec nous!
-Vraiment? lui demanda le petit lion, surpris,
-Oui, vraiment.
La cloche sonna et le cours se termina: c’était l’heure de la récréation. Normalement, le petit lion s’asseyait dans un coin et déjeunait tout seul, mais ce jour-là, grâce à la gentillesse de ses camarades, sa routine changea.
Depuis ce jour, il ne mangea plus jamais seul, et ne se sentit plus jamais isolé… Depuis ce jour, le petit lion se fit plein d’amis et plus personne n’eut peur de lui.
EOWYN LÓPEZ BOTUHA, 3ºESO A
CATEGORÍA II (4ºESO y BACHILLERATO)
PRIMER PREMIO
LK2
Récement , on a découvert au fond de l’océan un animal très étrange dont personne ne connassait l’existence .
Après de nombreuses années , les chercheurs ont achevé leur project de construction du LK2 .
Le sous-marin était équipé d’une technologie avancée , capable de reconnaÎtre des nouvelles espèces en extrayant de l’ADN .
Le 3 aoÛt 2112 , le sous – marin a été lancé à une profondeur de dix milles mètres sous la surface de la terre . A neuf milles mètres , une espèce terrifiante a été découverte . Cette espèce mesurait près de vingt mètres de haut et six mètres de large . Les images capturées ont été envoyées au laboratoire , où les chercheurs ont pu les examiner de plus près . A neuf milles mètres , ils ont commencé à découvrir une espèce terrifiante. Cette espèce mesurait prés de vingt mètres de haut et six mètres de large.
Le LK2 a extrait un fragment de peau de cet étrange animal et l’a ramené sur le rivage pour que les scientifiques l’examinent .
Des mois plus tard , ils ont obtenu des nombreuses informations et ont découvert qu’il s’agissait d’un animal contenant un mélange de génes provenants d’environ 700 espèces différentes , dont 20 étaient des animaux prehistoriques tels que les dinosaures .
Les chercheurs ont publié cette nouvelle et ont reçu peu après le prix nobel pour cette grande découverte .
Désormais , les chercheurs continueront à fouiller les fonds marins pour découvrir d’autres espèces.
LUNA CORCORÁN, 1ºBACH A
TRADUCCIÓN
LK2
Hace poco se descubrió en el fondo del océano un animal muy extraño que nadie sabía que existía.
Después de muchos años, los investigadores completaron el proyecto de construcción del LK2.
El submarino estaba equipado con tecnología avanzada, capaz de reconocer nuevas especies mediante la extracción de ADN.
El 3 de agosto de 2112, el submarino fue lanzado a una profundidad de diez mil metros bajo la superficie terrestre. A nueve mil metros, se descubrió una especie aterradora. Esta especie medía casi veinte metros de alto y seis de ancho. Las imágenes captadas se enviaron al laboratorio, donde los investigadores pudieron examinarlas más de cerca. A nueve mil metros, empezaron a descubrir una especie aterradora. Esta especie medía casi veinte metros de alto y seis de ancho.
El LK2 extrajo un fragmento de piel de este extraño animal y lo llevó a la costa para que los científicos lo examinaran.
Meses después, obtuvieron abundante información y descubrieron que se trataba de un animal que contenía una mezcla de genes de unas 700 especies diferentes, 20 de las cuales eran animales prehistóricos como los dinosaurios.
Los investigadores publicaron esta noticia y poco después recibieron el Premio Nobel por este importante descubrimiento.
A partir de ahora, los investigadores seguirán buscando otras especies en el fondo marino.
LUNA CORCORÁN, 1ºBACH A
SEGUNDO PREMIO
LE TOUR INATTENDU
L’historie commence au nord de l’Espagne, où vivait une bande de colibris .
L’hiver s’approche , et avec lui le froid. En raison du changement de températures , ces petits oiseaux ont décidé de migrer vers le sud de l’Afrique , où les températures étaient très chaudes , ce qui constituait un habitat idéal pour eux .
Ils ont commencé leur voyage et tout se passait bien , jusqu’à ce qu’ au bout de quelques jours , ils se heurtent à un orage que seuls les plus forts ont pu y traverser . Malhereusement , le plus faibles n’ont pas pu le traverser et ont dû de se réfugier dans une forêt .
Une fois la tempête est passée, les oiseaux les plus faibles se sont mis en route vers le sud de l’Afrique pour rejoindre les autres.
Mais un colibri était blessé et ne pouvait pas prendre son vol . Tout le groupe s’est mis en route , sauf l’un d’entre eux qui est rentré sur place pour s’occuper d’elle.
Après quelques semaines , le colibri s’est rétabli et, bien qu’il puisse coler, les deux oiseaux se sont habitués au climat et se sont rapprochés .
Ils réalisèrent alors qu’ils étaient faits l’un pour l’autre et décidèrent de former une grande famille dans la fôret.
HUGO HERNÁNDEZ, 1ºBACH A
TRADUCCIÓN
EL VIAJE INESPERADO
La historia comienza en el norte de España, donde vivía una bandada de colibrís.
El invierno se acercaba y con ello el frío. Debido al cambio de temperaturas, estos pajaritos decidieron migrar al sur de África donde las temperaturas eran más calurosas, lo que creaba un hábitat ideal para ellos.
Comenzaron su viaje y todo iba bien hasta que al cabo de unos días se toparon con una tormenta tan fuerte que no podían atravesarla. Desgraciadamente, los más débiles no pudieron atravesarlo y tuvieron que refugiarse en un bosque.
Un vez que la tormenta pasó, los pájaros más débiles comenzaron su camino hacia el sur de África para encontrarse con el resto.
Pero una colibrí estaba herida y no podía reanudar su vuelo. Todo el grupo inició la marcha salvo uno de ellos que se quedó en el lugar para cuidar de ella.
Después de unas semanas, la colibrí se recuperó y aunque pudo retomar el vuelo, los dos colibrís se habitaron al clima y se quedaron unidos.
Se dieron cuenta que estaban hechos el uno para el otro y decidieron formar una gran familia dentro del bosque.
HUGO HERNÁNDEZ, 1ºBACH A
MODALIDAD LENGUA CATELLANA:
CATEGORÍA I (1º,2º y 3ºESO)
PRIMER PREMIO
PERDÓN
Lara no podía parar de llorar. La culpa le reconcomía por dentro. Como la chica observadora que era, le habría fascinado aquella sensación si hubiera sido indolora. Pero no. Dolía más que cualquier herida que hubiera experimentado, más que cualquier golpe que se hubiera dado.
No aguantaría mucho más en ese estado. Por su culpa, el primer amor de Lara había muerto. Si las cosas hubieran ocurrido de otra forma, quizás ella podría haberme salvado, alertándome de aquel hombre que conducía borracho a altas horas de la noche por la carretera. Pero no. No lo hizo. Y yo había pagado por las consecuencias. La chica no podía evitar pensar que yo había fallecido por su culpa.
No me vería más, no podría decirme cuánto me amaba y cuánto sentía todo lo sucedido. En ese momento se acercó al alféizar de la ventana y me vio. Una pequeña luciérnaga dorada que se abría pasó para llegar junto a ella. Y, deseando que pudiera escucharme, le dije: “Pide un deseo”. De pronto, como si de alguna forma me entendiera, me susurró: “Perdóname. Es todo lo que te pido”.
Yo titilé dos veces y después me alejé, echando la vista atrás una última vez y separándome de ella para siempre.
“La vida es un suspiro. No merece la pena llorar cuando puedes reír, sentir culpa cuando hay un remedio tan sencillo como el perdón”.
HELIA LINA RODRÍGUEZ GARCÍA 2ºESO
ACCÉSIT PRIMER PREMIO
AMISTAD
El crudo invierno había comenzado el mes pasado. Las garras de hielo de Metlerga habían comenzado a pintar de blanco las montañas, congelar los ríos y ahuyentar a las aves, permaneciendo solo los más valerosos, como los bellos azores a los oscuros cuervos.
Siriel había decidido que, al igual que el viento se llevaba el calor, se la llevaría también a ella. Quería morir. Lo sabía desde hacía un tiempo, desde que llegó aquella aldea roñosa del norte. Había sufrido mucho, había sentido el dolor de la pérdida y el acero durante la guerra. Había escapado con su padre del sur, y había llegado aquel valle de montaña como una refugiada.
Se sentía sola. Su padre no hablaba con nadie desde que muriera su madre, y sus abrazos ya no daban calor. En el pueblo, todos la veían como una extranjera. Nadie la quería. Pensar que no tenía nadie con quien hablar, con quien compartir sus secretos… Le dejaba un vacío en el pecho, frío y blanco como la gélida nieve.
No sabía despedido de nadie, ya que nadie la recordaría. Hacía tiempo que su padre la miraba sin verla. Puede que ni siquiera la recordara.
Llegó al árbol ideal. Robusto, alto y con una rama baja. Colgó su cuerda en la rama y se subió a esa piedra. Se preparó para decir adiós al mundo, cuando…
Unas migas cayeron sobre su cabeza. Se giró y lo vio: un niño de su edad, con el cabello negro y los ojos del color de los pinos en primavera.
– ¡Hola!- dijo el niño mientras se comía su galleta. -¿Qué haces en mi árbol?
Por alguna razón, Siriel sonrió.
ÁLVARO NAVARRO PALAZUELOS, 1ºESO C
CATEGORÍA II (4ºESO-BACH)
PRIMER PREMIO
MURIÓ AYER
Me acerqué poco a poco a la puerta oscuras y cuando la abrí, nada pasó. Estuve decepcionado otra vez y me fui a la cama sabiendo que no era mi día.
Cada vez que llegaba la noche, abría la contraventana esperando encontrar sus ojos de nuevo, aunque ya era costumbre no hallar nada tras ella. No la veía desde el fallecimiento de mi madre, meses atrás. Hablé con alguien sobre esta situación y me preguntó si merecía la pena seguir insistiendo cuando siempre acababa tremendamente disgustado. No me importaba, incluso si luego lloraba. Conocer su cara había sido lo único bello en mi vida; lo demás, oscuro y triste.
Ayer noté su presencia en mi habitación y mi llanto se convirtió en esperanza… Busqué por mi cuarto, que ahora era abismal. Solía ilusionarme con ese lugar, ahora solo lo veía como cuatro paredes y un techo. “Si me voy, esto es lo único que recordarán de mí”, pensé. Mi habitación era un reflejo del vacío de mi vida.
Lamentaba y lloraba; me arrepentía y me odiaba. Ella entró por la ventana, me abrazó y me sentí, por fin, perdonado.
Volví a buscar su mirada, pero se había esfumado.
LÚ BATALLER, 4ºESO A
PREMIO ACCÉSIT
DE EXPLICATIVA A YUXTAPUESTA
Érase una vez una oración compuesta coordinada explicativa adolescente, la cual decía que no necesitaba una segunda o tercera oración para que se le entendiese y mucho menos un nexo, estaba harta, solo quería ser u es yo creo que desde el principio de curso ya la narración y el relato corto a partir de ahí una vez ellos saben muy bien cómo se redacta conocen las características de la narración pues entonces si presentarle varios modelos y que ellos redacte el suyo propio tema un poquito más si sí si amorna oración sencilla, simple. Sus padres, que también eran oraciones compuestas coordinadas explicativas, le repetían que era necesario ese nexo, ese segundo o tercer verbo… Pero ella no lo entendía.
Un día una amiga suya (una oración subordinada) le dijo que conocía alguien que podía cambiarle sin cambiar el si nada Como los estereotipos que hacengnificado de su vida. OCCE (así se llamaba la oración compuesta coordinada explicativa) estaba muy ilusionada, quería ir verle de inmediato.
Ese mismo día,OCCE fue a ver a esa curiosa oración, tenía mucho miedo, pero también muchas ganas. Llamó a la puerta de su casa y se lo explicó todo. Esta oración hizo todo lo posible, hasta que consiguió convertirla en una yuxtaposición. Solo consiguió quitarle el nexo y una de sus comas. Pero eso OCCE ya le hizo más feliz. ¡Por fin dejó de tener nexo!
A partir de ese día muchas más oraciones quisieron cambiar. Se pusieron muy contentos y comieron muchos complementos.
MARÍA GUTIÉRREZ MENÉNDEZ, 1ºBACH E